Expositions passées

Traces d’abord, ici conçues pour se frayer un chemin, puis pour laisser les empreintes destinées à toutes les heures présentes consacrées à cette exposition où les divines insurrections d’Henri Guédon se manifestent en peintures et en sculptures, en tous cas en créations vertigineuses.

Si le graffiti est, par définition, illégal et clandestin et s’inscrit dans la ville, il est également reconnu désormais, comme une pratique artistique à part entière et associé au street art. La fuite hors les murs prend la forme d’une pulsion créatrice qui fait parler les murs, une réaction instinctive, impulsée par une affirmation de liberté.

L’exposition « Du réel à l’imaginaire » réunit quatre artistes dominicains contemporains qui interrogent les modalités du dialogue entre vie et au-delà, entre sensible et immatériel, entre lumière et ombre, entre noir et blanc, entre transparences et opacités…

Composée d’une soixantaine de dessins et sculptures, l’exposition «Le vivant, passage par le féminin» à la Fondation Clément est la plus importante jamais consacrée à Ernest Breleur.

Laouchez conquiert l’espace du tableau, le fragmente, le reconstruit, le charpente par un rythme nerveux, des couleurs fortes et fières, une densité matérielle, une dynamique de signes. Il le charge d’éclats d’énergies qu’il fait circuler à fleur de toile.

Comptant parmi les artistes les artistes français les plus marquants de sa génération, Hervé Télémaque (né en Haïti en 1937) commence sa carrière de peintre à New York, avant de s’installer définitivement à Paris, où il contribue à l’émergence au début des années 1960 du mouvement de la figuration narrative.

Florine Demosthene s’est fait connaître à travers des expositions collectives et individuelles organisées aux États- Unis, dans la Caraïbe, au Royaume- Uni, en Slovaquie, en Allemagne et en Afrique. Elle vit actuellement entre le Ghana et New-York.

« Ronald Cyrille aime le dessin depuis son enfance, tout autant que les cartoons vus à la télévision, la fresque de l’église du village à Calibishie, les images pieuses et les photographies du salon de sa grand-mère anglophone à la Dominique. De retour en Guadeloupe à l’âge de neuf ans, il communiquera beaucoup grâce à son trait de crayon avant de se refaire en français, ce qui lui permettra de « parler sans bulles », comme il aime à dire. « 

John Lie A Fo, homme de passion, passeur de convictions, musicien, plasticien et fier de ses racines se veut aussi porte-parole de sa culture, invocateur des esprits; habité de toutes ces vies, il vit pleinement la sienne, en artiste libre.

L’ampoule. Ce motif, qui est devenu l’emblème de Sébastien Mehal, l’a précédé, bien avant qu’il ne devienne peintre.